Sunday, April 18, 2010
La Suisse Capitale Européenne de la Chirurgie Esthétique ?
Certains sont ammenés à penser que la Suisse pourrait devenir la capitale Européenne de la chirurgie esthétique. Les atoûts sont effectivements nombreux, riche infrastructure de cliniques privées, réputation de sérieux, discrétion et neutralité des moeurs, bonne formation des médecins et de toute façon pas mal de plasticiens Européens lorgnent sur la Suisse qui reconnait une bonne partie des diplômes de la communauté. Ca fait beaucoup effectivement. L'inconvénient de la Suisse est sa faible population et son niveau de vie relativement plus élevé qu'ailleurs. De ce fait c'est surtout la chirurgie ambulatoire qui peut profiter de cette démocratisation de l'esthétique. En effet le boum de la chirurgie esthétique se fait non pas grace aux riches mais grâce à la diminution des coûts des actes, à la tendance vers des actes moins lourds, moins honéreux et du coup accessibles aux moins riches. On a beaucoup parlé de pays comme la Tunisie ou la Turquie pour des prestations moins chères. L'inconvénient de ces pays sont que les normes de qualités ne sont pas les mêmes qu'en Europe. On a beau dire que les médecins sont Français ou Belges, le personnel reste local, les normes restent locales, les techniciens pour des technologies de pointes ne sont pas forcément les bons comme par exemple dans les traitement lasers....ou des traitements de pointe.
Si la Suisse veut jouer la carte Européenne elle doit à la fois garder ses atoûts mais également se dédier à cette clientèle au pouvoir d'achat moindre que les stars. Je ne pense pas que les Cliniques luxueuses comme Genolier ou LaClinique et j'en passe vont doubler ou tripler leur clientèle. Elles sont déjà connues par ceux qui les fréquentes et ce n'est pas le Français moyen ! Les cliniques lows cost non plus, la notion de low cost peut s'appliquer aux voyages mais pas ou très peu à la santé. Ceux qui peuvent en Suisse tirer profit de cette évolution sont ceux qui avec des structures légères mais d'ultra pointe, arriveront à communiquer par des biés populaires des techniques aux coûts abordables. C'est quoi un coût abordable ? Le prix d'une voiture ou d'un loisir par exemple. Des interventions a moins de 9'000 euros. Mais comme pour nos loisirs, ce sont des dépenses pour lesquelles, naturellement, on veut un SAV, ce qui est dans notre culture et pas forcéement dans la culture des soins dans les pays lointains.
Certains sont ammenés à penser que la Suisse pourrait devenir la capitale Européenne de la chirurgie esthétique. Les atoûts sont effectivements nombreux, riche infrastructure de cliniques privées, réputation de sérieux, discrétion et neutralité des moeurs, bonne formation des médecins et de toute façon pas mal de plasticiens Européens lorgnent sur la Suisse qui reconnait une bonne partie des diplômes de la communauté. Ca fait beaucoup effectivement. L'inconvénient de la Suisse est sa faible population et son niveau de vie relativement plus élevé qu'ailleurs. De ce fait c'est surtout la chirurgie ambulatoire qui peut profiter de cette démocratisation de l'esthétique. En effet le boum de la chirurgie esthétique se fait non pas grace aux riches mais grâce à la diminution des coûts des actes, à la tendance vers des actes moins lourds, moins honéreux et du coup accessibles aux moins riches. On a beaucoup parlé de pays comme la Tunisie ou la Turquie pour des prestations moins chères. L'inconvénient de ces pays sont que les normes de qualités ne sont pas les mêmes qu'en Europe. On a beau dire que les médecins sont Français ou Belges, le personnel reste local, les normes restent locales, les techniciens pour des technologies de pointes ne sont pas forcément les bons comme par exemple dans les traitement lasers....ou des traitements de pointe.
Si la Suisse veut jouer la carte Européenne elle doit à la fois garder ses atoûts mais également se dédier à cette clientèle au pouvoir d'achat moindre que les stars. Je ne pense pas que les Cliniques luxueuses comme Genolier ou LaClinique et j'en passe vont doubler ou tripler leur clientèle. Elles sont déjà connues par ceux qui les fréquentes et ce n'est pas le Français moyen ! Les cliniques lows cost non plus, la notion de low cost peut s'appliquer aux voyages mais pas ou très peu à la santé. Ceux qui peuvent en Suisse tirer profit de cette évolution sont ceux qui avec des structures légères mais d'ultra pointe, arriveront à communiquer par des biés populaires des techniques aux coûts abordables. C'est quoi un coût abordable ? Le prix d'une voiture ou d'un loisir par exemple. Des interventions a moins de 9'000 euros. Mais comme pour nos loisirs, ce sont des dépenses pour lesquelles, naturellement, on veut un SAV, ce qui est dans notre culture et pas forcéement dans la culture des soins dans les pays lointains.
